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Camille, célibataire, visite des appartements qu’elle ne veut pas acheter. Marguerite, quatre-vingt-sept ans, met en vente son appartement qu’elle ne veut pas quitter. La plus jeune est fleuriste (avocate pour la famille) et exerce sa profession dans le même quartier que la plus âgée (au passé secret). Et entre elles, Thomas le jeune agent immobilier qui, sans le savoir, va percer les deux bulles solitaires.
Une histoire qui fait du bien avec des personnages attachants.
(Cartherine - Club de lecture)
Le narrateur séjourne dans un palace, non loin de la chambre 621bis.
Mais pourquoi, entre la chambre 621 et la chambre 623, la chambre 622 n’existe pas ?
Poussé par sa voisine de chambre, Scarlett, il cherche à élucider ce mystère.
Il est question d’un riche héritier d’une banque privé suisse, un banquier d’affaires mystérieux et charismatique, une épouse à l’enfance et au passé complexe… L’intrigue est prenante, les indices sont semés avec adresse et le nom de la victime est gardé secret jusqu’au bout !
L’enquête est captivante mais la construction complexe du récit qui contient beaucoup de sauts dans le temps (moment de l’assassinat, jour présent, 3 ans avant le crime, etc.) et dans les sujets (hommage à son éditeur, histoire des personnages, etc.) nous fait parfois perdre le fil…
(Carine - Club de lecture)
Un roman à plusieurs couches, bien construit mais plus le lecteur avance, plus il sombre dans l'effroyable...
Il s’agit d’un roman très orienté sur l’aspect psychologique et les effets de certain traumatisme.
(Carine - Club de lecture)
La journaliste Sonia Devillers revient sur l’histoire de ses grands-parents roumains et juifs immigrés à Paris dans les années 1960.
Conservatrice et antisémite dans les années 1930 la Roumanie devient l’alliée de l'Allemagne lors du pogrom de Bucarest en 1941. Pendant quatre ans un antisémitisme violent va faire rage dans le pays, avec des centaines de milliers de juifs déportés ou exécutés. Passée du côté des Alliés pour les neuf derniers mois de la guerre, la Roumanie se convertit au communisme dès la fin du conflit.
Le nouveau régime va taire rapidement les exactions commises envers les juifs pendant la guerre.
Mais progressivement, en une dizaine d'années, va exploser une nouvelle émergence de l'antisémitisme, telle que les grands-parents de Sonia Devillers n'auront plus d'autre choix que de quitter la Roumanie avec leurs deux filles et une grand-mère.
Cependant la Roumanie est fermée et la Securitate fait en sorte que personne ne sorte du pays. Alors, reste le recours à un passeur. Un passeur qui se fait payer, évidemment. Mais qui a élaboré un procédé plus complexe, et très certainement plus rémunérateur : échanger des milliers de Juifs contre des cochons, pour pallier l’inaptitude du régime à nourrir sa population.
Richement documenté, l’ouvrage alterne finement entre les faits historiques issus des recherches de l’auteur dans les archives roumaines et les réflexions plus personnelles concernant la personnalité de ses grand-parents et l’expérience de l’arrachement qu’a représenté l’exil de toute cette famille dans les années 1960.
(Muriel - Club de Lecture)
Max est grand, très grand et tout le monde se moque de lui. Il intègre alors une école très spéciale pour apprendre à se faire respecter. Lecture adaptée aux DYS.
C’est une histoire sombre et tragique sur le thème de la transmission de la violence de père en fils. Un récit tout en tension magnifiquement bien écrit.
roman commence par une scène incroyable : nous suivons un groupe d’hommes préhistoriques dans leur quotidien.
Une jeune mère célibataire, abandonnée par le père de l’enfant quelques années plus tôt, s’en sort comme elle peut pour élever son fils de 9 ans.
Un jour, le père réapparait sans explication et les emmène vivre dans la montagne dans un endroit isolé de tout et appelé les Roches. C’est là qu’il a lui-même vécu avec son père, devenu fou après la mort de sa femme.
Mais bientôt, ce père retrouvé dévoile également toute sa folie…
L’histoire est racontée à travers ce petit garçon de 9 ans.
C’est une histoire sombre et tragique sur le thème de la transmission de la violence de père en fils.
C’est un récit tout en tension magnifiquement bien écrit.
(Carine - Club de Lecture)
Vive l'utopie libre !!!
Cri du cœur de l'auteuse qui de répétitions en redites rêve comme un chevalier errant dont la monture est le Mot. Très jolis pour certains.
L'auteuse nous entraîne sur les chemins escarpés de la liberté. Don Quichotte embrochait/étripait les idées/diktats de l'Inquisition et ses sbires. Marxiste avant l'heure il voulait une justice indépendante de la richesse ou du pouvoir. Les textes ici prennent une virulente défense de cet utopiste, battu, rossé, jeté bas, mais toujours digne sur sa Rossinante. En s'égarant de Kérouac à Faulkner en passant par Spinoza et Mandela à la chasse de l'idéal ( ???), les pages se lisent assez difficilement mais quel plaisir de rêver à une une liberté universelle... Dans un univers du 15/16ème où régnaient la terreur, l'injustice au profit des puissants et des riches. Tout ce que Notre utopiste voulait combattre/éradiquer.
Et, aujourd'hui, le monde a t-il vraiment changé ? Il n'y a plus de gens en bas et d'autres en haut ?
En reprenant Coluche : tous les hommes sont égaux, mais l'égalité n'est pas la même pour tous.
Qu'en est t-il de l'Homme Libre que voulait JJ Rousseau ?
Livre à lire au calme...
PS : savourer L,Homme de La Mancha de Jacques Brel...
(Serge - Club de lecture)
Lecture fluide et facile. L’ambiance mystérieuse et l’intrigue historique captivent.
Les deux frères ont des vies sentimentales compliquées. Les trois ont des enfants qu’on voit grandir pendant que leurs grands-parents sont frappés par la maladie, des juifs non pratiquants, d’origine Viennoise,
On S’Aime chez les Popper, autant qu’on se chamaille.
Au cours d’un voyage dans le camp d’Auschwitz Birkenau, les uns se chamaillent et s’insultent pour des « pécadilles » alors que le lieu ne s’y prête pas.
Durant tout le livre on rit jusqu’à un certain point ; description de l’enfermement et de la dépendance, de liens forts que les parents ont sus transmettre.
La moitié du livre est consacré à la visite du camp d’Auschwitz.
Histoire d’une fratrie, Serge, Ana et Jean le narrateur.
Les vieux meurent et les enfants grandissent .
(Annie - Club de lecture)