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Les coups de cœur
Une bande dessinée qui poursuit la série de votre enfance ! Très réussi.
Le conte de la Princesse au petit pois revisité. Un manoir imposant, un lord mystérieux qui cherche une épouse, des princesses, une domestique espiègle et un brin de magie !
Coyote voyage avec son père dans un bus scolaire réaménagé. Ils sillonnent les Etats-Unis mais un événement va pousser Coyote à vouloir à tout prix revenir dans sa ville natale…
Il s’agit d’un polar Sud-Africain découpé en 4 parties avec toujours un élément qui relie ces parties entre elles. Il y a 3 histoires différentes : l’histoire de Milla qui plaque tout pour s’éloigner de son mari et de son fils adolescent violent ; l’histoire de Lemmer qui escorte des rhinocéros vers une réserve ; et Mat Joubert, détective privé, qui doit retrouver la trace d’un homme disparu du jour au lendemain. Le tout offre une vision réaliste de la vie en Afrique du Sud.
Deon Meyer mélange les styles avec brio. On passe d’un roman d’espionnage au roman d’aventure pour finir sur une enquête policière. Même si les intrigues se succèdent, on ne se perd jamais dans ce roman. Le mélange des genres ainsi que les personnages sont très réussis.
Sarah, libraire dans un petit village de Charente, peine à joindre les deux bouts. Alors, quand un ami lui propose un arrangement pour le moins très rémunérateur, elle hésite à peine avant d’accepter.
C’est entendu : elle hébergera Maxime Maréchal, acteur aussi célèbre pour ses rôles de Bad Boy que pour ses incartades avec la justice.
Une rencontre émouvante entre deux êtres que tout oppose mais unis par un même désir : celui de vivre leurs rêves.
Entrez dans un monde où tout devient possible.
J’ai bien aimé la surabondance de livres dans cette petite librairie : on se perdrait au milieu pour n’en pus ressortir.
(Arlette - Club de lecture)
L’auteur dresse le portrait de 12 criminels nazis. Leurs point commun : ils étaient tous proches d’Hitler, ils ont tous contribué à la bonne marche du IIIe Reich. Certains étaient des personnalités avec de très hautes responsabilités comme Albert Speer.
Tous ont échappé à la pendaison alors que les exécutants de leurs ordres, eux, ont été condamnés à mort ou traqués par les services secrets israëliens.
Tous ont été employés par les Etats-Unis, la Grande Bretagne, l’URSS et même l’Allemagne Fédérale après la guerre.
J’ai été sidérée par certaines informations, pourtant historiques. Pour beaucoup, les documents ont été déclasssifiés récemment : après la chute du mur de Berlin en ce qui concerne les protégés de l’URSS et les autres souvent après 2000.
Par contre certains “salopards” comme les appelle l’auteur, ont vécu après 1945 au grand jour avec l’approbation de la majorité.
(Monique - Club de lecture)
Dans ce premier roman très émouvant l'illustrateur Mathieu Persan rend hommage à sa mère, emportée par un cancer à 68 ans en racontant les derniers jours qui ont précédé sa mort, et la vie qui s'écoule immédiatement après.
De façon très touchante, l'auteur convoque les souvenirs de son enfance à Vincennes et dresse le portrait d'une mère dévouée au bien être de ses enfants et de sa famille : "Il ne doit plus jamais rien m'arriver", cette phrase est celle que la mère de l'auteur s'est exclamée suite à la naissance de son premier enfant. Une fratrie unie, une famille de profs fantaisistes, une maison toujours ouverte aux enfants et aux amis de passage...ainsi s'écoule paisiblement les années, qui voient les enfants grandir et quitter le nid. La relation presque fusionnelle entre la mère et le fils est décrite avec beaucoup de justesse et de pudeur, tout comme l'annonce de la maladie, soudaine mais comme allant de soi pour la mère du narrateur.
Malgré la tristesse de la situation, l'écriture de Mathieu Persan rend l'histoire lumineuse et mêle avec subtilité les moments d'émotion et d'humour. Aux moments solennels se mêle en effet la trivialité de la vie qui continue, malgré l'absence de l'être cher : les formalités, l'assurance vie, le cimetière, les pompes funèbres, mais au fait, comme habille-t-on un défunt ? Même l’inhumation prête à sourire, avec les travaux en retard et le grincement des outils des ouvriers.
Un roman qui marque les esprits : on y sent tout l'amour d'un fils pour sa mère, la complicité, les silences...
(Muriel - Club de Lecture)
L'auteur est philosophe.
Il interroge à travers ce livre le terme même de "nature". Il nous invite à le suivre dans les parcs nationaux de différents continents, sur la trace des autres animaux et du végétal.
Il propose, à partir de ces signes, ces pistes, une autre façon de penser le monde.
Cela a été pour moi, une fenêtre ouverte, sur la nature surprenante mais somme toute, banale.
(Monique - Club de lecture)
Dans ce deuxième opus, Margaret Atwood raconte la suite de La Servante écarlate.
Quinze ans après, le régime patriarcal totalitaire a toujours la mainmise sur le pouvoir mais la corruption est de mise dans la sphère des décideurs.
On suit les récits de trois personnages : Tante Lydia (qui raconte la naissance de ce gouvernement, déjà présente dans le 1er tome) ; Agnès Jemima (fille d’un Commandant et future Epouse) et au Canada libre, Daisy jeune adolescente immigrée de Gilead, qui vit au sein d’une famille protégeant les réfugiés de Galaad (Gilead dans le premier tome) via l’association « Mayday ».
Suite logique mais moins percutante, on retrouve l’atmosphère du premier tome.
(Catherine - Club de Lecture)
L’auteur met en scène la vie de Klara Hitler avant la naissance de son fils Adolf, même si son nom et le patronyme ne sont jamais cités.
Plus que la genèse du personnage, on découvre les conditions de vie de cette époque (19e siècle) et plus spécifiquement la condition de la femme et les grossesses vécues.
Klara a été marié à son oncle car enceinte de lui, suite à un viol. Cet oncle est un personnage détestable au plus au point : violent, cruel et obsédé par sa carrière (officier supérieur des Douanes impériales) et il n’a aucune considération pour les femmes.
La religion est très présente et pesante. Renforcée par la naïveté de Klara qui se rend à confesse à la moindre occasion.
Klara, pour ne pas sombrer, écrit, en cachette, d’abord sur un cahier puis sur un tableau noir. Elle écrit toutes ses pensées qu’elle efface aussitôt de peur qu’elles soient lues.
Il y a des passages un peu déroutants où, je suppose, Klara a des visions, des visions prémonitoires des camps de concentrations par exemple. Ces délires sont intégrés à la narration comme si son esprit divaguait.
(Carine - Club de lecture)